Adressée au Vicaire de Montpellier, une pétition datant de 1675 fait état du mécontentement des parents d’élèves de notre village. L’instituteur, un dénommé Pichière, y est décrit comme un médiocre enseignant donnant le mauvais exemple. Trois cents ans avant nos syndicats, cet acte prouve que nos ancêtres savaient se défendre. Il nous apprend aussi que l’église avait la main mise sur l’enseignement. La Révolution française laïcise l’état civil et sur notre commune, le premier instituteur nommé par le (...)