Aux Matelles comme dans de nombreuses contrées du Midi, la sériciculture participait à la polyactivité qui fut la règle pendant de longs siècles. Au plus fort, cette activité c’était environ 4400 mûriers sur la commune. Même si beaucoup ont disparu, l’élevage des vers à soie (= les magnans) s’inscrit, aujourd’hui encore, en filigrane dans les paysages matellois. Un exemple est le bâtiment situé en dehors des remparts, presque en face de l’église, au début du chemin du Triadou : il est constitué d’une (...)