Tout l’hiver les troupeaux de moutons broutaient les garrigues, chaumes, bords de chemins, et autres parcelles temporairement non cultivées.
Sans être aussi important que dans certaines communes voisines, le troupeau matellois s’était maintenu entre 1800 et 2000 têtes pendant tout le XIXe siècle. Mais en 1928, il n’en restait que 1300 et 650 en 1952.
Chaque bête donnait environ 1 kg d’une laine de qualité moyenne. Les agneaux étaient vendus pour la boucherie, tout comme les bêtes engraissées à (...)